Contexte

À l’heure actuelle, la situation à laquelle les pères (à présent certain(e)s coparents) font face est une discrimination systémique. Celle-ci est à l’œuvre et bien connue des victimes et leurs avocats de longue date (se rappeler que SOS Papa a été créée en 1990), mais la « preuve par 9 » a été établie statistiquement par le Ministère de la justice lui-même beaucoup plus récemment (2014) :

La Résidence Alternée (Hébergement Égalitaire dans le code civil Belge qui a au moins le mérite de la clarté) est TOUJOURS accordée par les juridictions familiales (JAF) quand la mère y consent, mais refusée aux pères qui la souhaitent1 dans plus de 75%2 des cas quand la mère s’y oppose.

Voyez les références de cette statistique ministérielle et le résumé que nous en faisons ici

Garçon et pére en observation

Découvrir la nature ensemble.

Fille et père aux devoirs

Lesson de dessin.


  1. En contradiction de bon sens avec l’article 371-1 du code civil qui décrit l’autorité parentale conjointe comme un ensemble de droits appartenant à chaque parent en vue, entre autres, de l’éducation des enfants ↩︎

  2. Nous estimons que ce taux de rejet avoisine les 90% une fois que le « parent 1 » va en Cour d’appel pour contester lorsque que le « parent 2 » a bénéficié de la miraculeuse exception. Notez que nous avions énergiquement demandé en 2014 que ce taux de rejet envers le « parent 2 » soit suivi annuellement, mais qu’il n’en fut rien. ↩︎